Notre estomac est (enfin) remis des fêtes de fin d’année, le temps est plus déprimant que les téléfilms du dimanche aprèm et l’arrivée du printemps paraît plus longue que la ligne 13.
Le blue monday, c’est le troisième lundi du mois de janvier (le 16 cette année). Selon une équation bien rodée, ce serait le jour le plus déprimant de l’année : temps maussade, fêtes de fin d’année déjà lointaines, pression des bonnes résolutions et difficulté à tenir les défis de janvier. Et ça va même plus loin : le blue monday serait le résultat de recherches très précises menées par un certain Cliff Arnall, qui aurait mis au point une (vraie) équation pour nous prouver tout ça.
Mais comme on est un peu frileuses des soit-disant recherches qui pourraient prévoir nos émotions en faisant des généralités, on s’est en réalité rendu compte que tout ça n'était qu'un leurre (et oui ma p’tite dame). En fait, ce cher monsieur aurait simplement vendu son nom à une société de voyage britannique pour nous inciter à booker rapido notre prochain trip au soleil. Comment ? En prouvant de manière bancale que ce jour était tellement déprimant qu’il nous donnerait envie de réserver nos prochaines vacances (bien joué Cliff).
Du coup, c’est sûr que si on nous répète que ce sera un jour relou, on ne passera pas une bonne journée. Et au-delà de ça, on trouve ça bof de banaliser la dépression, que de nombreuses personnes vivent quotidiennement.
En revanche, il est totalement possible de ressentir un coup de blues de la nouvelle année, surtout quand on a passé des super fêtes. Mais, si ça se trouve, celui-ci durera une semaine, ou arrivera beaucoup plus tôt ou beaucoup plus tard et il ne tombera pas pile poil le 3ème lundi de janvier.
Alors on fait quoi ? Et bien, on fait des choses qu’on aime faire, on évite de se mettre la rate au court-bouillon avec des bonnes résolutions ou des “défis”. Ça peut même être l’occasion de se replonger dans nos photos des fêtes, d’apprécier (pour la 50ème fois) les cadeaux que nous avons reçus ou d’utiliser notre box “escapade à deux”, au lieu de la laisser traîner jusqu’à péremption dans notre bibliothèque.
Crédits photos : Instagram / @bellahadid - Pexels / Mateus Souza
Le blue monday, c’est le troisième lundi du mois de janvier (le 16 cette année). Selon une équation bien rodée, ce serait le jour le plus déprimant de l’année : temps maussade, fêtes de fin d’année déjà lointaines, pression des bonnes résolutions et difficulté à tenir les défis de janvier. Et ça va même plus loin : le blue monday serait le résultat de recherches très précises menées par un certain Cliff Arnall, qui aurait mis au point une (vraie) équation pour nous prouver tout ça.
Mais comme on est un peu frileuses des soit-disant recherches qui pourraient prévoir nos émotions en faisant des généralités, on s’est en réalité rendu compte que tout ça n'était qu'un leurre (et oui ma p’tite dame). En fait, ce cher monsieur aurait simplement vendu son nom à une société de voyage britannique pour nous inciter à booker rapido notre prochain trip au soleil. Comment ? En prouvant de manière bancale que ce jour était tellement déprimant qu’il nous donnerait envie de réserver nos prochaines vacances (bien joué Cliff).
Du coup, c’est sûr que si on nous répète que ce sera un jour relou, on ne passera pas une bonne journée. Et au-delà de ça, on trouve ça bof de banaliser la dépression, que de nombreuses personnes vivent quotidiennement.
En revanche, il est totalement possible de ressentir un coup de blues de la nouvelle année, surtout quand on a passé des super fêtes. Mais, si ça se trouve, celui-ci durera une semaine, ou arrivera beaucoup plus tôt ou beaucoup plus tard et il ne tombera pas pile poil le 3ème lundi de janvier.
Alors on fait quoi ? Et bien, on fait des choses qu’on aime faire, on évite de se mettre la rate au court-bouillon avec des bonnes résolutions ou des “défis”. Ça peut même être l’occasion de se replonger dans nos photos des fêtes, d’apprécier (pour la 50ème fois) les cadeaux que nous avons reçus ou d’utiliser notre box “escapade à deux”, au lieu de la laisser traîner jusqu’à péremption dans notre bibliothèque.