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Comment vivre en paix avec sa forte poitrine ?
Comment vivre en paix avec sa forte poitrine ?

Dans l’imaginaire collectif, les seins incarnent la « féminité absolue ». Une conception stéréotypée qui trouble les femmes et leur relation avec leur corps. Entre hypersexualisation, fierté, mal être ou revendication, le quotidien des personnes à la poitrine opulente n’est pas toujours une partie de plaisir. Pour Boldie, elles témoignent et nous livrent leurs conseils pour améliorer la cohabitation avec ses deux compagnons.

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Pour commencer, je vais vous parler un peu de moi. Écrire cet article n’a rien d’anodin, car vivre une relation apaisée avec mon corps et ma poitrine a été (et reste encore) un travail de longue haleine, qui a commencé durant l’époque bénie de l’adolescence. C’est un moment charnière, une période où chacun voit son corps changer et ses habitudes se bousculer. 

Moi, j’ai souvent été la première à expérimenter ces chamboulements. J’ai longtemps été la plus grande, la plus baraquée et la plus formée. Une réalité que moi-même, je voulais occulter. Je n’étais encore qu’une jeune fille, pourquoi assumer des attributs qui n’étaient pas voulus ? Puis, il a suffi d’un léger décolleté et d’une soirée pour que tout bascule. En un instant, je suis passée de la fille insignifiante à la fille… aux gros seins. Les gens avaient compris, j’ai donc eu le droit à un nouveau surnom, ainsi qu’aux comportements malsains et problématiques qui vont avec… 

Un nouveau statut que je reniais, que je préférais laisser à d’autres filles, plus en confiance et plus à l’aise avec ce corps qu’elles connaissaient mieux. Des femmes capables, selon moi, d’accepter ça, d’en jouer et d’avancer, car elles étaient conscientes de leur valeur. Oui, cette période m’avait tellement perturbée que j’en venais à idéaliser le quotidien des copines qui vivaient sûrement la même chose que moi. 

Mais voilà, c’est comme ça que l’hypersexualisation a commencé.

Aujourd’hui, j’ai acquis suffisamment de confiance pour assumer mes boobs, les aimer, m’affranchir, un minimum, du regard des autres et m’habiller comme je le souhaite. Si j’ai envie de me lover dans des gros pulls, je le fais et si je veux mettre un décolleté ou un haut moulant, je ne me fais pas prier, même si je continue de les entendre ces remarques et surtout, je continue de les voir ces regards.

Je pense que toustes mes semblables ont connu ces situations, la vendeuse qui te dit qu’elle n’a pas la taille au-dessus, l’angoisse des sorties à la piscine et la sélection du fameux maillot, le changement de tenue au dernier moment par peur d’être vulgaire, la galère de trouver une tenue tout court, le mal de dos, le soutien-gorge qui serre, la brassière de sport aussi, devoir se tenir les eins quand on tape une accélération, les réflexions désobligeantes des personnes qui te disent « pourquoi tu te plains, toi au moins t’en as » ou les gens (plutôt gros dégueux) qui louchent sur ta paire au point que tu te demandes s’ils sont en veille. 

Bref, ça fait beaucoup ! Alors, ce n’est pas parce qu’on coche la case « poitrine développée » d’un standard féminin périmé ou que d’autres personnes souffrent du fait de ne pas pouvoir la cocher, que l’on doit se taire et être toujours au max. Les complexes des un.e.s ne doivent pas effacer les problématiques subies par les autres, et vice-versa. 

Pour autant, il est important de se donner du love et d’essayer de développer une belle relation avec son corps. Cet outil fascinant qui nous permet tout simplement d’être là, en vie. Voici donc quelques astuces pour vivre sa best life avec ses seins :

Investir dans la bonne lingerie

Toutes les personnes qui ont témoigné le disent, trouver le bon soutien-gorge est ESSENTIEL.

Après des années d’errance à devoir se contenter du vieux modèle couleur chair aux grosses bretelles et aux baleines qui cisaillent la peau, l’industrie a intégré un concept primordial : l’inclusivité. Certaines marques l’utilisent pour se donner bonne conscience (échec) et d’autres l’appliquent de façon concrète. Parmi les propositions plus modernes, on retrouve des modèles assez confortables, comme les brassières sans armatures signées Chantelle ainsi que Calvin Klein. Nos lectrices conseillent aussi de guetter du côté de Savage x Fenty avec des styles canons « pour toutes les morphologies et à un prix abordable » ou encore de Mark & Spencer

Ensuite, une autre membre de la team Boldie martèle « les filles, achetez un soutif à votre taille et vous vous remercierez. » Pour faire le bon choix, il est important de ne pas négliger le conseil. Si vous avez des doutes et que vous ne vous sentez pas bien renseignées, c’est ok de changer de boutique. La lingerie est là pour vous faire plaisir, mais aussi pour soutenir votre poitrine. Vous allez devoir la porter chaque jour pendant des heures, alors si vous êtes perdu·e, n’ayez pas peur de vous faire aider, de demander l’avis des vendeur.se.s, d’essayer plusieurs modèles ou marques avant de trouver l’élu de vos nénés.

Enfin, pour les personnes qui veulent pratiquer une activité physique sans souffrir, on vous parle de super brassières juste ici ou de tenues de sport pour tous les bodys par

Dormir sereinement

En 2019, la marque de lingerie Bravissimo a fait le buzz en créant un matelas gonflable à renfoncement pour accueillir les tchoutch opulents. Un coup de com qui met en lumière une réalité : la difficulté de trouver une bonne position quand on est allongé. Notre lectrice nous explique qu’il est important d’avoir « un matelas confortable pour dormir sur le ventre. » Vous pouvez donc opter pour le mémoire de forme qui s’adapte à vos courbes pendant votre sommeil ou un très moelleux pour ne pas ressentir de douleur. Dans tous les cas, n’hésitez pas à exposer votre problématique au personnel de vente. Il n’y a pas de quoi être gêné·e, tout le monde souhaite passer des nuits apaisées. 

S’inspirer des bonnes personnes 

Il a longtemps été difficile pour les personnes avec des formes et une corpulence pulpeuse de s’identifier, d’avoir des modèles, car ces derniers n’étaient pas présents dans l’espace médiatique ou culturel. Mais aujourd’hui avec l’avènement des réseaux sociaux et l’évolution de CERTAINES mentalités (on n’est toujours pas dans le monde des bisounours), il est possible de s’inspirer de personnes qui nous ressemblent. Alors, ne suivez plus des profils qui vous font du mal, qui vous font sentir inconfortables ou hors-normes. Nourrissez-vous d’images et de parcours de femmes qui résonnent en vous. Cela vous fera prendre conscience que vous n’êtes pas seules et qu’il est important de mettre en avant tous les corps, toutes les poitrines et de les sublimer. 

L’ouvrir 

Il y a des compliments qui font plaisir (qui donnent le smile) et d’autres qui sonnent comme des reproches, voire des insultes. Quand on a une paire développée, on peut être vite victime d’une ribambelle de commentaires à la sauce passive-agressive (oui, personne n’est à l’abri). « Les gens minimisent les remarques qu’ils font », nous confie une lectrice. Comme nos seins rentrent dans les codes bien clichés de la féminité ou qu’ils sont plus proéminents que la moyenne, certains trouvent qu’il est tout à fait légitime de nous titiller et pire, qu’il nous est interdit de nous plaindre. Problème ? Les femmes aux gros bonnets ont aussi le droit d’avoir des problèmes, des complexes ou de ressentir un mal-être surtout quand on se coltine des « sacrée paire », « il y a du monde au balcon » et autres regards lubriques en permanence. Même si c’est plus facile à dire qu’à faire, n’hésitez pas à dire que ce n’est pas normal, que ça vous met mal à l’aise et que ça ne vous fait pas du tout rire. Sinon, vous pouvez toujours adopter l’attitude de notre Unbothered Queen, «  comment vivre avec ? En ignorant tous les *** qui traînent dans la rue et qui jugent le physique d’une femme plutôt que l’ignorer. Ça, c’était important de le dire. » Hell yes !

La chirurgie esthétique 

Si malgré toutes ces petites astuces pratiques, vous n’arrivez pas à vous sentir pleinement en phase avec votre corps et que votre complexe aspire toute votre énergie, vous pouvez vous orienter vers une solution médicale. Sachez qu’en France, il est possible de procéder à une réduction mammaire et de bénéficier d’un remboursement par la Sécurité Sociale s’il s’agit d’une diminution de plus de 300 grammes par sein. Une intervention salvatrice pour beaucoup de femmes dont des membres de la communauté Boldie, mais qui n’est pas sans conséquence. 

Claire s’est confiée sur cette expérience qui lui a permis d’obtenir la « paix mentale », mais estime que les patientes ne sont pas assez renseignées sur les effets post-chirurgie. « Désormais, je suis complètement désensibilisée au niveau des tétons et ça, on ne me l’avait pas dit. J’ai aussi de grosses cicatrices que je traite grâce à des séances de laser tout en procédant à des séances de tatouages qui viennent redessiner le mamelon. Je n’ai aucun regret, j’aurais juste aimé que ces sujets soient abordés durant les consultations. »

Des éléments à ne pas négliger et dont il est nécessaire de parler, notamment avec votre chirugien.ne avant de vous lancer. 

D’ailleurs, pour vous sentir en paix et cohabiter au mieux avec vos nichons ou votre corps en général, n’ayez pas peur de parler. Au moment où je rédige ces mots, un chiffre alarmant vient d’être dévoilé : 70 %, c’est la part des femmes complexées par leur corps, selon une enquête Ifop pour le magazine Marie-Claire. Un résultat qui rappelle l’importance de mettre en avant et de célébrer toutes les identités, mais aussi de communiquer sur les problématiques que chacun.e peut traverser.

Charlotte Médot

Crédits photos : Instagram / @gelbsy

Pour commencer, je vais vous parler un peu de moi. Écrire cet article n’a rien d’anodin, car vivre une relation apaisée avec mon corps et ma poitrine a été (et reste encore) un travail de longue haleine, qui a commencé durant l’époque bénie de l’adolescence. C’est un moment charnière, une période où chacun voit son corps changer et ses habitudes se bousculer. 

Moi, j’ai souvent été la première à expérimenter ces chamboulements. J’ai longtemps été la plus grande, la plus baraquée et la plus formée. Une réalité que moi-même, je voulais occulter. Je n’étais encore qu’une jeune fille, pourquoi assumer des attributs qui n’étaient pas voulus ? Puis, il a suffi d’un léger décolleté et d’une soirée pour que tout bascule. En un instant, je suis passée de la fille insignifiante à la fille… aux gros seins. Les gens avaient compris, j’ai donc eu le droit à un nouveau surnom, ainsi qu’aux comportements malsains et problématiques qui vont avec… 

Un nouveau statut que je reniais, que je préférais laisser à d’autres filles, plus en confiance et plus à l’aise avec ce corps qu’elles connaissaient mieux. Des femmes capables, selon moi, d’accepter ça, d’en jouer et d’avancer, car elles étaient conscientes de leur valeur. Oui, cette période m’avait tellement perturbée que j’en venais à idéaliser le quotidien des copines qui vivaient sûrement la même chose que moi. 

Mais voilà, c’est comme ça que l’hypersexualisation a commencé.

Aujourd’hui, j’ai acquis suffisamment de confiance pour assumer mes boobs, les aimer, m’affranchir, un minimum, du regard des autres et m’habiller comme je le souhaite. Si j’ai envie de me lover dans des gros pulls, je le fais et si je veux mettre un décolleté ou un haut moulant, je ne me fais pas prier, même si je continue de les entendre ces remarques et surtout, je continue de les voir ces regards.

Je pense que toustes mes semblables ont connu ces situations, la vendeuse qui te dit qu’elle n’a pas la taille au-dessus, l’angoisse des sorties à la piscine et la sélection du fameux maillot, le changement de tenue au dernier moment par peur d’être vulgaire, la galère de trouver une tenue tout court, le mal de dos, le soutien-gorge qui serre, la brassière de sport aussi, devoir se tenir les eins quand on tape une accélération, les réflexions désobligeantes des personnes qui te disent « pourquoi tu te plains, toi au moins t’en as » ou les gens (plutôt gros dégueux) qui louchent sur ta paire au point que tu te demandes s’ils sont en veille. 

Bref, ça fait beaucoup ! Alors, ce n’est pas parce qu’on coche la case « poitrine développée » d’un standard féminin périmé ou que d’autres personnes souffrent du fait de ne pas pouvoir la cocher, que l’on doit se taire et être toujours au max. Les complexes des un.e.s ne doivent pas effacer les problématiques subies par les autres, et vice-versa. 

Pour autant, il est important de se donner du love et d’essayer de développer une belle relation avec son corps. Cet outil fascinant qui nous permet tout simplement d’être là, en vie. Voici donc quelques astuces pour vivre sa best life avec ses seins :

Investir dans la bonne lingerie

Toutes les personnes qui ont témoigné le disent, trouver le bon soutien-gorge est ESSENTIEL.

Après des années d’errance à devoir se contenter du vieux modèle couleur chair aux grosses bretelles et aux baleines qui cisaillent la peau, l’industrie a intégré un concept primordial : l’inclusivité. Certaines marques l’utilisent pour se donner bonne conscience (échec) et d’autres l’appliquent de façon concrète. Parmi les propositions plus modernes, on retrouve des modèles assez confortables, comme les brassières sans armatures signées Chantelle ainsi que Calvin Klein. Nos lectrices conseillent aussi de guetter du côté de Savage x Fenty avec des styles canons « pour toutes les morphologies et à un prix abordable » ou encore de Mark & Spencer

Ensuite, une autre membre de la team Boldie martèle « les filles, achetez un soutif à votre taille et vous vous remercierez. » Pour faire le bon choix, il est important de ne pas négliger le conseil. Si vous avez des doutes et que vous ne vous sentez pas bien renseignées, c’est ok de changer de boutique. La lingerie est là pour vous faire plaisir, mais aussi pour soutenir votre poitrine. Vous allez devoir la porter chaque jour pendant des heures, alors si vous êtes perdu·e, n’ayez pas peur de vous faire aider, de demander l’avis des vendeur.se.s, d’essayer plusieurs modèles ou marques avant de trouver l’élu de vos nénés.

Enfin, pour les personnes qui veulent pratiquer une activité physique sans souffrir, on vous parle de super brassières juste ici ou de tenues de sport pour tous les bodys par

Dormir sereinement

En 2019, la marque de lingerie Bravissimo a fait le buzz en créant un matelas gonflable à renfoncement pour accueillir les tchoutch opulents. Un coup de com qui met en lumière une réalité : la difficulté de trouver une bonne position quand on est allongé. Notre lectrice nous explique qu’il est important d’avoir « un matelas confortable pour dormir sur le ventre. » Vous pouvez donc opter pour le mémoire de forme qui s’adapte à vos courbes pendant votre sommeil ou un très moelleux pour ne pas ressentir de douleur. Dans tous les cas, n’hésitez pas à exposer votre problématique au personnel de vente. Il n’y a pas de quoi être gêné·e, tout le monde souhaite passer des nuits apaisées. 

S’inspirer des bonnes personnes 

Il a longtemps été difficile pour les personnes avec des formes et une corpulence pulpeuse de s’identifier, d’avoir des modèles, car ces derniers n’étaient pas présents dans l’espace médiatique ou culturel. Mais aujourd’hui avec l’avènement des réseaux sociaux et l’évolution de CERTAINES mentalités (on n’est toujours pas dans le monde des bisounours), il est possible de s’inspirer de personnes qui nous ressemblent. Alors, ne suivez plus des profils qui vous font du mal, qui vous font sentir inconfortables ou hors-normes. Nourrissez-vous d’images et de parcours de femmes qui résonnent en vous. Cela vous fera prendre conscience que vous n’êtes pas seules et qu’il est important de mettre en avant tous les corps, toutes les poitrines et de les sublimer. 

L’ouvrir 

Il y a des compliments qui font plaisir (qui donnent le smile) et d’autres qui sonnent comme des reproches, voire des insultes. Quand on a une paire développée, on peut être vite victime d’une ribambelle de commentaires à la sauce passive-agressive (oui, personne n’est à l’abri). « Les gens minimisent les remarques qu’ils font », nous confie une lectrice. Comme nos seins rentrent dans les codes bien clichés de la féminité ou qu’ils sont plus proéminents que la moyenne, certains trouvent qu’il est tout à fait légitime de nous titiller et pire, qu’il nous est interdit de nous plaindre. Problème ? Les femmes aux gros bonnets ont aussi le droit d’avoir des problèmes, des complexes ou de ressentir un mal-être surtout quand on se coltine des « sacrée paire », « il y a du monde au balcon » et autres regards lubriques en permanence. Même si c’est plus facile à dire qu’à faire, n’hésitez pas à dire que ce n’est pas normal, que ça vous met mal à l’aise et que ça ne vous fait pas du tout rire. Sinon, vous pouvez toujours adopter l’attitude de notre Unbothered Queen, «  comment vivre avec ? En ignorant tous les *** qui traînent dans la rue et qui jugent le physique d’une femme plutôt que l’ignorer. Ça, c’était important de le dire. » Hell yes !

La chirurgie esthétique 

Si malgré toutes ces petites astuces pratiques, vous n’arrivez pas à vous sentir pleinement en phase avec votre corps et que votre complexe aspire toute votre énergie, vous pouvez vous orienter vers une solution médicale. Sachez qu’en France, il est possible de procéder à une réduction mammaire et de bénéficier d’un remboursement par la Sécurité Sociale s’il s’agit d’une diminution de plus de 300 grammes par sein. Une intervention salvatrice pour beaucoup de femmes dont des membres de la communauté Boldie, mais qui n’est pas sans conséquence. 

Claire s’est confiée sur cette expérience qui lui a permis d’obtenir la « paix mentale », mais estime que les patientes ne sont pas assez renseignées sur les effets post-chirurgie. « Désormais, je suis complètement désensibilisée au niveau des tétons et ça, on ne me l’avait pas dit. J’ai aussi de grosses cicatrices que je traite grâce à des séances de laser tout en procédant à des séances de tatouages qui viennent redessiner le mamelon. Je n’ai aucun regret, j’aurais juste aimé que ces sujets soient abordés durant les consultations. »

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