Aujourd’hui, c’est petit claquage de bise digital en règles, MWAH, car on célèbre la youtubeuse so british Mayadorable. Mais que mange notre bff des réseaux pour avoir suffisamment d’énergie pour nous faire rire quotidiennement, tourner ses vidéos, enregistrer ses podcasts et se rendre à tous les concerts de Dua Lipa sur la planète ? Pour vous, notre rédactrice Charlotte a passé 24 heures dans l’assiette de la plus chipie des créatrices de contenus. Sympaaa.
Grasse matinée
Maya l’a confessé plusieurs fois, elle adore rester au lit longtemps, trèèèès longtemps, trop longtemps pour moi. Après plusieurs coups d’œil à mon écran et une session câlins avec Dina, mon Smithers à moi (normalisons le fait d’avoir toujours un doudou passé les 11 ans), je craque et je me lève un peu avant 10 heures pour découvrir avec stupeur que... je ne vais rien manger. Et oui, la plus mignonne des chipies n’aime pas manger le matin et c’est ok, personne n’est obligé. Mais moi, c’est le petit plus qui me permet de bien me réveiller. Après quelques recherches, je constate qu’elle mangeait volontiers un bol de yaourt accompagné de fruits frais pendant le confinement. Un classique pour combler le vide, je valide, surtout que j’évite de peu le petit-déjeuner à l’anglaise à base de saucisses et de beans. Mais pour rendre hommage à notre queen du jour, je me prépare quand même une jolie cup of tea. Delicious.
Tuna mania
Maya a une addiction : le sandwich au thon. Un incontournable qu’elle dévore dès qu’elle en a la possibilité. Il lui arrive même d’y ajouter des chips, mais ma conscience professionnelle a ses limites. Ce midi, je dégaine donc la baguette, le thon en miettes et les crudités. Un classique dont je ne suis pas une grande adepte mais qui a le mérite de me rappeler les sorties scolaires, les vacances, l’aventure et les pauses déjeuner sur les aires d’autoroute. Ça fait toujours du bien d’être nostalgique quand il pleut des cordes et qu’il est temps de ressortir son col roulé.
À l’anglaise !
Pour le goûter, c’est tea time ! Une tradition qui consiste à siroter la fameuse boisson chaude tout en mangeant des douceurs sucrées. La youtubeuse s’en est emparé pour développer un concept de vidéos où on la voit parler anglais, grignoter et papoter avec ses invités. Bon, à la maison, la préparation est beaucoup moins distinguée. En toute simplicité, je mise sur un muffin (je sais que Maya approuve) et un thé au jasmin. D’ailleurs, je lance un débat, on lève le petit doigt par ici ou pas ?
Dance the night away
Après plusieurs visionnages de contenus, je suis ravie de constater que l’influenceuse adooore les sushis (réf’ de millennials). Il est à présent temps de passer commande et de me délecter de petites bouchées au riz vinaigré. Pour digérer, il fallait que je finisse la soirée en beauté et pour cela, rien ne vaut une petite session danse sur les tubes de l’idole absolu de Maya : Dua Lipa ! J’ai essayé de reproduire des chorégraphies… ce fut un échec, contrairement au reste de ma journée. Malgré le fait que je ne sois pas une adepte du thon en boite, je dois admettre que le mood de Maya est, contrairement à son alter ego maléfique, tout sauf désagréable. Elle s’amuse, tente des choses, assume ses goûts culinaires douteux, mange et surtout, fait ce qu’il lui plaît. N’en déplaise aux rageux qui se permettent encore de faire des commentaires extrêmement malvenus sur le train de vie ou le physique des gens. Vive Maya et les Pachas.
Charlotte Médot
Crédits photo : Instagram / @mayadorable
Grasse matinée
Maya l’a confessé plusieurs fois, elle adore rester au lit longtemps, trèèèès longtemps, trop longtemps pour moi. Après plusieurs coups d’œil à mon écran et une session câlins avec Dina, mon Smithers à moi (normalisons le fait d’avoir toujours un doudou passé les 11 ans), je craque et je me lève un peu avant 10 heures pour découvrir avec stupeur que... je ne vais rien manger. Et oui, la plus mignonne des chipies n’aime pas manger le matin et c’est ok, personne n’est obligé. Mais moi, c’est le petit plus qui me permet de bien me réveiller. Après quelques recherches, je constate qu’elle mangeait volontiers un bol de yaourt accompagné de fruits frais pendant le confinement. Un classique pour combler le vide, je valide, surtout que j’évite de peu le petit-déjeuner à l’anglaise à base de saucisses et de beans. Mais pour rendre hommage à notre queen du jour, je me prépare quand même une jolie cup of tea. Delicious.
Tuna mania
Maya a une addiction : le sandwich au thon. Un incontournable qu’elle dévore dès qu’elle en a la possibilité. Il lui arrive même d’y ajouter des chips, mais ma conscience professionnelle a ses limites. Ce midi, je dégaine donc la baguette, le thon en miettes et les crudités. Un classique dont je ne suis pas une grande adepte mais qui a le mérite de me rappeler les sorties scolaires, les vacances, l’aventure et les pauses déjeuner sur les aires d’autoroute. Ça fait toujours du bien d’être nostalgique quand il pleut des cordes et qu’il est temps de ressortir son col roulé.
À l’anglaise !
Pour le goûter, c’est tea time ! Une tradition qui consiste à siroter la fameuse boisson chaude tout en mangeant des douceurs sucrées. La youtubeuse s’en est emparé pour développer un concept de vidéos où on la voit parler anglais, grignoter et papoter avec ses invités. Bon, à la maison, la préparation est beaucoup moins distinguée. En toute simplicité, je mise sur un muffin (je sais que Maya approuve) et un thé au jasmin. D’ailleurs, je lance un débat, on lève le petit doigt par ici ou pas ?
Dance the night away
Après plusieurs visionnages de contenus, je suis ravie de constater que l’influenceuse adooore les sushis (réf’ de millennials). Il est à présent temps de passer commande et de me délecter de petites bouchées au riz vinaigré. Pour digérer, il fallait que je finisse la soirée en beauté et pour cela, rien ne vaut une petite session danse sur les tubes de l’idole absolu de Maya : Dua Lipa ! J’ai essayé de reproduire des chorégraphies… ce fut un échec, contrairement au reste de ma journée. Malgré le fait que je ne sois pas une adepte du thon en boite, je dois admettre que le mood de Maya est, contrairement à son alter ego maléfique, tout sauf désagréable. Elle s’amuse, tente des choses, assume ses goûts culinaires douteux, mange et surtout, fait ce qu’il lui plaît. N’en déplaise aux rageux qui se permettent encore de faire des commentaires extrêmement malvenus sur le train de vie ou le physique des gens. Vive Maya et les Pachas.
Charlotte Médot