
Hello world, bienvenue dans le monde merveilleux des orgasmes et de leurs multiples possibilités. Aujourd’hui, on vous en fait découvrir un un peu moins connu, c’est cadeau. Allez, bonne journée <3.
Une pratique souvent laissée de côté
Notre société a un rapport conflictuel avec les tétons : ils sont à la fois ultra sexualisés (notamment ceux appartenant à des personnes perçues comme femmes) et délaissés ou à peine utilisés lors de nos rapports sexuels. La preuve en est : sur les réseaux sociaux, les tétons sont très souvent censurés (même si Instagram a l’air de s’être réveillé) et à l’inverse, dans le porno mainstream, ils sont réduits à l’état d’objet de désir “décoratif”, seulement là pour exciter le partenaire (qui, au final, ne les calcule pas vraiment).
Évidemment, on parle ici de manière générale (tant mieux si vous avez intégré cette pratique et que vous kiffez hihi), et notamment d’un système hétéronormatif qui ne conçoit le sexe qu’à travers une seule finalité : la pénétration et l’orgasme masculin. Et c’est bien dommage, car non seulement une bonne partie de la population ne prend pas son pied et en plus elle se met une barrière pour certaines pratiques, car tabou ou mal documentées.
Pourquoi c’est possible ?
On ne va pas vous apprendre que le clitoris ou le pénis ne sont pas les seules zones érogènes du corps humain (thanks God). Celui-ci est en effet composé d’un système nerveux très bien fait qui relie toutes les zones érogènes à un seul et même endroit : le ✨cortex sensoriel ✨(on est scientifiques ouais), et surprise : les tétons en font partie. De plus, l’aréole est une des zones les plus sensibles du corps (même si ça dépend des personnes of course), ce qui lui donne la possibilité de vous procurer un orgasme si elle est correctement stimulée (et que cela vous donne envie, bien évidemment).
Comment on fait ?
Il existe tout un tas de techniques pour atteindre the big O : en suçant, mordant, caressant, pinçant… tout dépend de ce que vous préférez. En général, ça peut être déroutant et assez long de comprendre comment ça fonctionne là-haut, il est donc primordial d’écouter son corps et d’y aller doucement. Ah oui, on vous voit venir : bien évidemment que cette pratique peut se faire à deux, mais aussi et surtout solo (et ça peut être une excellente porte d’entrée pour ensuite le faire avec son.sa partenaire). Aussi, il est tout à fait possible de stimuler une autre zone en même temps, pour faciliter l’orgasme (on peut faire plusieurs choses en même temps après tout).
Ça fait quoi comme sensation ?
Comme tout ce qui est nouveau, au début on peut être très étonné·e de la sensation : elle est plus douce et “lente” qu’au niveau du clitoris, mais elle n’en reste pas moins très agréable (sans blague). Bon, néanmoins, on vous laisse découvrir par vous-mêmes, car chacun.e ressent les choses différemment. Et puis, comme tout orgasme, il est excellent pour la santé et pour le teint (on ne perd pas le nord ici).
Crédits photos : Pexels / Cottonbro studio / Medium photoclub
Une pratique souvent laissée de côté
Notre société a un rapport conflictuel avec les tétons : ils sont à la fois ultra sexualisés (notamment ceux appartenant à des personnes perçues comme femmes) et délaissés ou à peine utilisés lors de nos rapports sexuels. La preuve en est : sur les réseaux sociaux, les tétons sont très souvent censurés (même si Instagram a l’air de s’être réveillé) et à l’inverse, dans le porno mainstream, ils sont réduits à l’état d’objet de désir “décoratif”, seulement là pour exciter le partenaire (qui, au final, ne les calcule pas vraiment).
Évidemment, on parle ici de manière générale (tant mieux si vous avez intégré cette pratique et que vous kiffez hihi), et notamment d’un système hétéronormatif qui ne conçoit le sexe qu’à travers une seule finalité : la pénétration et l’orgasme masculin. Et c’est bien dommage, car non seulement une bonne partie de la population ne prend pas son pied et en plus elle se met une barrière pour certaines pratiques, car tabou ou mal documentées.
Pourquoi c’est possible ?
On ne va pas vous apprendre que le clitoris ou le pénis ne sont pas les seules zones érogènes du corps humain (thanks God). Celui-ci est en effet composé d’un système nerveux très bien fait qui relie toutes les zones érogènes à un seul et même endroit : le ✨cortex sensoriel ✨(on est scientifiques ouais), et surprise : les tétons en font partie. De plus, l’aréole est une des zones les plus sensibles du corps (même si ça dépend des personnes of course), ce qui lui donne la possibilité de vous procurer un orgasme si elle est correctement stimulée (et que cela vous donne envie, bien évidemment).
Comment on fait ?
Il existe tout un tas de techniques pour atteindre the big O : en suçant, mordant, caressant, pinçant… tout dépend de ce que vous préférez. En général, ça peut être déroutant et assez long de comprendre comment ça fonctionne là-haut, il est donc primordial d’écouter son corps et d’y aller doucement. Ah oui, on vous voit venir : bien évidemment que cette pratique peut se faire à deux, mais aussi et surtout solo (et ça peut être une excellente porte d’entrée pour ensuite le faire avec son.sa partenaire). Aussi, il est tout à fait possible de stimuler une autre zone en même temps, pour faciliter l’orgasme (on peut faire plusieurs choses en même temps après tout).
Ça fait quoi comme sensation ?
Comme tout ce qui est nouveau, au début on peut être très étonné·e de la sensation : elle est plus douce et “lente” qu’au niveau du clitoris, mais elle n’en reste pas moins très agréable (sans blague). Bon, néanmoins, on vous laisse découvrir par vous-mêmes, car chacun.e ressent les choses différemment. Et puis, comme tout orgasme, il est excellent pour la santé et pour le teint (on ne perd pas le nord ici).