Elle aurait pu choisir une séance de yoga toute douce, ou juste se poser dans son lit pour bouquiner, mais non, notre rédactrice Salomé a décidé d’enfiler son costume de militaire (ou presque) pour tester une séance de bootcamp. Spoiler : elle y est retournée.
C’est quoi le bootcamp ?
C’est une discipline qui s’inspire des entraînements militaires et de ceux des footballeurs américains (gardez votre énergie pour finir l’article au lieu de partir en courant). Elle enchaîne des phases (des “blocs” comme on dit dans le milieu) de cardio en fractionné et des phases de musculation au sol, au poids du corps ou avec des haltères. Il existe également une déclinaison “strong”, qui propose des blocs de musculation plus intenses, tandis que le bootcamp “normal” se focalise plus sur le cardio. En bref, il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux (pas besoin d’avoir couru 5 marathons dans sa vie pour s’y mettre, croyez-moi).
Comment se déroule une séance ?
La séance, c’est une chose, mais ce qui demande le plus d’énergie, c’est sûrement de trouver la motivation pour se rendre à la salle à 8h du mat’ (ne me demandez pas pourquoi j’ai choisi cet horaire). Parce qu’entre nous, aller courir sur un tapis de course à cette heure-là sur du rap US type Bodak Yellow de Cardi B peut être un peu agressif. Mais comme je me dois de tester pour vous, et pour la science (laissez moi trouver la motiv où je peux), j’ai enfilé mon meilleur outfit de sport et je me suis rendue à la salle, non sans ronchonner (j’ai quand même réussi à embarquer une copine avec moi, il ne faut pas abuser non plus).
Arrivée dans la salle, le coach nous explique les différents blocs que nous allons enchaîner (vous sentez la flemme venir ?). Il s’agissait donc des 5 phases de musculations et 5 de cardio, de 4 minutes chacune (la première étant dédiée à l’échauffement). Le but ? Alterner les deux disciplines pour viser toujours plus d’intensité (car oui, il n’y a que 15 secondes de récupération à chaque fois, sinon ce ne serait pas drôle).
Pour chaque phase de musculation, les exercices changent afin de travailler l’ensemble du corps (watch me faire des pompes sur les genoux à côté des go muscu). On passe donc des bras, aux jambes, en passant par les abdos et le dos pour avoir des effets complets après la séance. Aussi (et c’est plutôt rassurant), de nombreux poids sont à disposition afin d’adapter ses charges en fonction de ses objectifs et de son niveau (heureusement car soulever 20 kilos avec mes petits bras est tout simplement impossible).
En ce qui concerne le cardio, les blocs se décomposent en plusieurs parties : marche rapide, jogging (course lente), run (course rapide) et run + (sprint). Pour chaque partie, les durées et intensités changent pour travailler en profondeur le fractionné (aka, la meilleure façon de progresser rapidement en course à pied). Encore une fois, pas la peine de se mettre la pression à courir aussi vite que son voisin, chacun adapte sa vitesse à son niveau, le tout étant d’être régulier et de se dépenser (ne comptez pas sur moi pour faire les performances d'Usain Bolt).
Les bienfaits
Après une séance de bootcamp, s’il y a bien une chose à retenir, c’est que l’on se sent vi-dé·e. Et j’insiste, parce que ce n’est pas tous les jours qu’on enchaîne muscu et cardio à cette intensité. En revanche, comme la séance dure seulement (ou pas, c’est déjà pas mal) 45 minutes, le temps passe vite et on peut donner le maximum de nos capacités, sans trop fatiguer à la fin. Le top ? On progresse vite, on peut voir des effets durables sur notre corps et notre endurance (parce qu’être essoufflée en montant ses courses au 2ème étage, ça commence à bien faire).
On le fait quand ?
Si vous avez la motiv’ d’en faire tous les jours, grand bien vous fasse (on ne sait pas comment vous faites), même si c’est toujours mieux de laisser le corps récupérer au minimum 24 heures entre chaque séance. Selon moi, une séance par semaine voire toutes les deux semaines peut être largement suffisante si vous voulez vous vider la tête et profiter pleinement des bienfaits.
Pourquoi on kiffe ?
Lorsque je suis sortie de la séance, j’ai ressenti une certaine fierté à avoir dépassé mes limites tout en m’étant bien dépensée. Ce qui est également très agréable après ce type de séance, c’est la sensation de bien-être profond : on sent qu’on s’est vidé la tête et qu’on a donné un bon high kick à nos problèmes. Et comme je suis un peu maso sur les bords, j’y suis retournée, et surprise : j’ai déjà senti que j’avais progressé, et ça, c’est masterclass pour le moral.
Pour tester, je me suis rendue chez Episod, mais il existe de plus en plus de salles de sport qui proposent ces séances.
Crédits photos : Instagram / @episodofficiel - Pexels / Kampus Production
C’est quoi le bootcamp ?
C’est une discipline qui s’inspire des entraînements militaires et de ceux des footballeurs américains (gardez votre énergie pour finir l’article au lieu de partir en courant). Elle enchaîne des phases (des “blocs” comme on dit dans le milieu) de cardio en fractionné et des phases de musculation au sol, au poids du corps ou avec des haltères. Il existe également une déclinaison “strong”, qui propose des blocs de musculation plus intenses, tandis que le bootcamp “normal” se focalise plus sur le cardio. En bref, il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux (pas besoin d’avoir couru 5 marathons dans sa vie pour s’y mettre, croyez-moi).
Comment se déroule une séance ?
La séance, c’est une chose, mais ce qui demande le plus d’énergie, c’est sûrement de trouver la motivation pour se rendre à la salle à 8h du mat’ (ne me demandez pas pourquoi j’ai choisi cet horaire). Parce qu’entre nous, aller courir sur un tapis de course à cette heure-là sur du rap US type Bodak Yellow de Cardi B peut être un peu agressif. Mais comme je me dois de tester pour vous, et pour la science (laissez moi trouver la motiv où je peux), j’ai enfilé mon meilleur outfit de sport et je me suis rendue à la salle, non sans ronchonner (j’ai quand même réussi à embarquer une copine avec moi, il ne faut pas abuser non plus).
Arrivée dans la salle, le coach nous explique les différents blocs que nous allons enchaîner (vous sentez la flemme venir ?). Il s’agissait donc des 5 phases de musculations et 5 de cardio, de 4 minutes chacune (la première étant dédiée à l’échauffement). Le but ? Alterner les deux disciplines pour viser toujours plus d’intensité (car oui, il n’y a que 15 secondes de récupération à chaque fois, sinon ce ne serait pas drôle).
Pour chaque phase de musculation, les exercices changent afin de travailler l’ensemble du corps (watch me faire des pompes sur les genoux à côté des go muscu). On passe donc des bras, aux jambes, en passant par les abdos et le dos pour avoir des effets complets après la séance. Aussi (et c’est plutôt rassurant), de nombreux poids sont à disposition afin d’adapter ses charges en fonction de ses objectifs et de son niveau (heureusement car soulever 20 kilos avec mes petits bras est tout simplement impossible).
En ce qui concerne le cardio, les blocs se décomposent en plusieurs parties : marche rapide, jogging (course lente), run (course rapide) et run + (sprint). Pour chaque partie, les durées et intensités changent pour travailler en profondeur le fractionné (aka, la meilleure façon de progresser rapidement en course à pied). Encore une fois, pas la peine de se mettre la pression à courir aussi vite que son voisin, chacun adapte sa vitesse à son niveau, le tout étant d’être régulier et de se dépenser (ne comptez pas sur moi pour faire les performances d'Usain Bolt).
Les bienfaits
Après une séance de bootcamp, s’il y a bien une chose à retenir, c’est que l’on se sent vi-dé·e. Et j’insiste, parce que ce n’est pas tous les jours qu’on enchaîne muscu et cardio à cette intensité. En revanche, comme la séance dure seulement (ou pas, c’est déjà pas mal) 45 minutes, le temps passe vite et on peut donner le maximum de nos capacités, sans trop fatiguer à la fin. Le top ? On progresse vite, on peut voir des effets durables sur notre corps et notre endurance (parce qu’être essoufflée en montant ses courses au 2ème étage, ça commence à bien faire).
On le fait quand ?
Si vous avez la motiv’ d’en faire tous les jours, grand bien vous fasse (on ne sait pas comment vous faites), même si c’est toujours mieux de laisser le corps récupérer au minimum 24 heures entre chaque séance. Selon moi, une séance par semaine voire toutes les deux semaines peut être largement suffisante si vous voulez vous vider la tête et profiter pleinement des bienfaits.
Pourquoi on kiffe ?
Lorsque je suis sortie de la séance, j’ai ressenti une certaine fierté à avoir dépassé mes limites tout en m’étant bien dépensée. Ce qui est également très agréable après ce type de séance, c’est la sensation de bien-être profond : on sent qu’on s’est vidé la tête et qu’on a donné un bon high kick à nos problèmes. Et comme je suis un peu maso sur les bords, j’y suis retournée, et surprise : j’ai déjà senti que j’avais progressé, et ça, c’est masterclass pour le moral.
Pour tester, je me suis rendue chez Episod, mais il existe de plus en plus de salles de sport qui proposent ces séances.
